Dans le monde d’avant, se déplacer au quotidien relevait du défi pour les franciliens. L’aménagement anarchique de la région avec des bassins de vie très rarement en phase avec des bassins d’emplois en est la cause principale. Le mouvement associatif dans son ensemble a tenté vainement d’apporter sa contribution en dénonçant les stratégies immobilières d’un autre âge sans vraiment être entendu.
La crise sanitaire a accentué la prise de conscience de cette problématique et, au-delà des bonnes intentions, c’est l’organisation du monde d’après qui soulève questionnements. En effet, imaginer la mobilité de demain, c’est :
➢ Repenser la ville dans ses composantes habitat/emploi/services ;
➢ Recréer du lien social en limitant les déplacements afin de contribuer à la transition écologique et de répondre aux enjeux environnementaux.
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Le président
Jean-Pierre Moulin
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